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Qui sommes-nous ?

Nous sommes un groupe venu de tous horizons, particulièrement impacté par la sauvegarde de nos côtes méditerranéennes. Elles sont en danger, sur deux fronts particulièrement, intérieur et extérieur. 

Aussi, il nous est apparu essentiel de lutter pour protéger nos côtes...

Pensons à nos enfants et nos petits enfants, tous ceux qui verrons d'ici même pas 50 ans disparaître des zones entières de leurs rives. Nous ne pouvons laisser ainsi sans rien faire voir se détériorer nos espaces de vie.
Nous souhaitons informer, élever le débat dans un monde si trouble et trop peu sensible à son avenir.

Rejoignez-nous...

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Nos côtes et nos plages sont irremplaçables, sauvons-les !

Nos Objectifs

Pendant longtemps, nul ne s’est soucié de la pollution marine car elle ne se voyait pas en surface. Jusqu’en 1987, Marseille déversait ses eaux usées dans la mer sans aucun traitement. Idem pour cinq communes près de Nice… jusqu’en 2011. Après des décennies de laxisme, la situation s’est améliorée grâce à l’installation de 250 stations d’épuration sur le littoral (contre 15 en 1980). Malgré des dégradations ponctuelles, les eaux côtières françaises affichent une bonne qualité générale selon l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée-Corse.

Toutefois, cet organisme a relevé dans certains secteurs des traces de résidus chimiques, dus aux pesticides charriés par les cours d’eau mais aussi à l’activité industrielle. En ligne de mire, l’usine de production d’alumine Alteo de Gardanne (Bouches-du-Rhône). Après des années de bras de fer, il lui a été interdit d’évacuer ses boues rouges dans la mer à partir de 2016. Mais elle continue à les stocker à l’air libre, et à expédier dans l’eau des effluents liquides potentiellement nocifs. En redressement judiciaire, la société Alteo pourrait mettre la clé sous la porte en laissant la dépollution à la charge de l’État.

Notre Misson

Expliquer, c'est la mission que nous sommes attribué, elle concerne l'érosion du littoral : l'homme contraint de se plier aux règles de la nature

Les infrastructures humaines du littoral ont profondément modifié le déplacement des sédiments et la morphologie du trait de côte. Aujourd'hui, l'homme tente de rectifier la donne avec, comme solution ultime, le recul des activités. Chaque année, plusieurs tonnes de sable sont déplacées pour reconstituer des plages fortement affectées par l'érosion au cours de l'hiver. Plus globalement, 27 % de l'ensemble du littoral français subit une érosion côtière, soit 46 % des plages de sable ou à galets, et 23 % des côtes rocheuses, rappelle le BRGM. Or les littoraux attirent toujours plus d'habitants. Ainsi, on a enregistré une augmentation de quatorze habitants par km² dans les communes littorales entre 1999 et 2010. Et le bord de mer reste, sans surprise, la première destination touristique. 

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